- Orfeo e Euridice (Odyssud de Toulouse)
« Enfin, dans le rôle court mais décisif de l’Amour équipé d’une amusante paire d’ailes rouge sang, la Soprano Maud Ryaux, apporte son lot de légèreté mutine qui commente le bonheur d’un véritable “happy end”. »
Serge Chauzy, “Classic Toulouse” – Avril 2011
- L’amour masqué (CD sorti chez Acte Sud – 2014)
« Les deux Servantes sont parfaites avec cette pointe de prosaïsme qui les distingue. »
G. Condé, “ L’avant-scène opéra”
- un portrait de Maud sur le site de Radio France en présentation du concert enregistré le février 2010.
- Atys (Festival de la Chabotterie)
« Saluons enfin Maud Ryaux (Iris puis Doris), à la projection naturelle et l’ articulation non moins convaincante.»
Alexandre Pham, classiquenews.com 2009
« Au demeurant, la sélection du plateau vocal s’avère globalement infaillible, soulignant en particulier l’éclat des seconds-rôles, tels Idas et Doris, confesseurs des protagonistes. » Benjamin Ballifh – août 2010 (critique sortie cd d’Atys)
- Mireille (opera de Toulon)
« L’air très court mais tout à fait charmant du berger Andreloun est interprêté avec talent par Maud Ryaux. »
Concertonet.com 2007
- Werther (opéras de Massy, Dijon, Besançon)
« …pour ses premiers pas sur une scène d’opéra, la toute jeune Maud Ryaux donne un relief prometteur au rôle ingrat de Sophie. »
José Pons, “Opéra international” 2004
« …Maud Ryaux, toute de juvénile insouciance, est la Sophie qui convient. “Son gai soleil” est un moment de grâce… ensoleillé. »
Eduard Bailly, Resmusica.com 2004
« Maud Ryaux se coule sans peine dans la peau de cette jeune fille, vocalement, elle réussit à gommer toute afféterie pour n’exprimer que la fraîcheur et le charme de son personnage. » Isabelle Truchon, “Le Bien Public” 2004